
Abysses du futur
Abysses du futur
Nous avons le plaisir de vous inviter au vernissage des expositions d’artyshow, en particulier pour les travaux d’élèves exposés au restaurant St.Gervais.

Nous avons le plaisir de vous inviter au vernissage des expositions d’artyshow, en particulier pour les travaux d’élèves exposés au restaurant St.Gervais.
Fils d’une mère médecin et d’un père journaliste, Tiago Rodrigues s’est souvent demandé pourquoi il avait choisi de raconter le monde plutôt que de le sauver en agissant de manière plus concrète. Faut-il venir au secours du monde ou en faire récit ? Tenter d’agir directement sur le réel ou le raconter ?
Pour écrire « Dans la mesure de l’impossible », il s’immerge dans la Genève internationale pour partir à la rencontre de celles et ceux qui font de l’humanitaire leur profession. Il rencontre le directeur de la Croix-Rouge internationale et ses équipes, de cet échange découle l’envie de regarder le monde à travers les yeux de ces personnes engagées. La nécessité d’écrire un texte qui passera par le prisme de l’intime naît alors…
Inspiré de leurs témoignages, ce texte expose les dilemmes de ces femmes et ces hommes qui vont et viennent entre des zones d’intervention tourmentées et un paisible « chez soi » ; le Possible, et l’Impossible.
Qu’est-ce qui pousse un être humain à choisir de risquer sa vie pour aider les autres ? Comment appréhender la question de l’appartenance et du « chez soi » ? Quand devient-elle problématique face au chaos du monde ? Comment cette double vie entre les zones de crises et de conflits et le retour dans un pays en paix modifie-t-elle le regard sur le monde et sur sa vie personnelle ? Autant de questions au cœur des témoignages recueillis.[1]
« La représentation qu’on fait de notre monde est toujours trop simpliste. Les bons et les méchants, les civilisés et les sauvages, les riches et les pauvres, les victimes et les oppresseurs, les bourreaux et les sauveurs, le Possible et l’Impossible. Mais ce n’est pas ça, ce n’est pas seulement ça. »[2]
[1] https://tiagorodrigues.eu/fr/sobre/
[2] « Dans la mesure de l’impossible »
Les comédiens:
Les musiciens:
L’exposition Boîtes à musique est le fruit d’un projet interdisciplinaire mené par la classe 26mB du Gymnase de Bienne et du Jura bernois en collaboration avec l’artiste audiovisuel neuchâtelois My Name is Fuzzy. En passant de boîte en boîte, découvrez les chansons préférées des élèves présentées sous forme d’interprétations immersives.
Vernissage : 18h00
Performance live de My Name is Fuzzy : 20h00
Selon Hartmut Rosa, la vitesse croissante de la modernité entraîne un sentiment de désynchronisation entre les individus et leur environnement. Ceci engendre parfois une perte de sens et de connexion avec le monde et les choses qui nous entourent.
Ensemble, nous chercherons à entrer en résonance avec notre environnement, en créant des liens par le son, la musique et le coeur, nous permettant de nous sentir pleinement engagés et connectés.
Le Vocalband aimerait donc offrir un espace dans la durée d’un concert, permettant de se relier; peut-être avec la musique, peut-être avec l’espace, peut-être avec soi-même
8 mai 2024
La chorale du gymnase (Chorale24) présentera un programme riche et varié sous le sujet « les cinq sens ». En effet, la chorale composée d’une cinquantaine de chanteuses et chanteurs se verra interpréter des arrangements spécialement conçus pour cette occasion. Des chants allant de Schubert à Ben Mazué seront chantés parfois avec toutes la chorale et parfois interprétés par des solistes. Venez vivre avec nous cette expérience multisensorielle unique.
Quand ?
Où ?
Billeterie
D’ALEXIS MICHALIK
Alexis Michalik fait ses débuts de comédien sous la direction d’Irina Brook, dans le rôle-titre de Juliette et Roméo mais c’est à la télévision qu’il prend ses quartiers. On le retrouve ainsi dans divers téléfilms ou séries : Petits meurtres en famille, Terre de lumière, Kaboul Kitchen, Versailles… Au cinéma, il tourne, entre autres, avec Billy Zane, Danièle Thompson, Andrea Bescond et Eric Métayer.
Au théâtre, Michalik met d’abord en scène des adaptations pour le moins déjantées, parmi lesquelles La mégère à peu près apprivoisée, ou R&J, librement inspirés des œuvres de William Shakespeare.
Le Porteur d’histoire est sa première pièce en tant qu’auteur. Succès inattendu, elle cumule à ce jour 2’500 représentations et a été jouée dans le monde entier. En 2014, il est récompensé pour Le Porteur d’histoire et Le Cercle des illusionnistes du prix Beaumarchais du Figaro, du prix Jeune Théâtre de l’Académie Française et de deux Molières. Il est également l’auteur d’Edmond, Intra-muros et Une histoire d’amour qui sont tous trois de grands succès.
Scénariste, réalisateur et écrivain : son premier film, Edmond, est sorti en janvier 2019 et son premier roman, Loin, en septembre de la même année[1].
Hommage à Alexandre Dumas, Le porteur d’histoire est une pièce écrite à la manière d’un feuilleton, où chaque fin de scène appelle un nouveau suspense. Tous les fils de l’histoire se lient les uns aux autres, brodent petit à petit la trame, la transforment, la font et la défont, en modifient les couleurs, y apportent de nouvelles nuances pour faire naître, au fur et à mesure, une véritable tapisserie.
En 1988, sous une pluie battante, Martin Martin doit enterrer son père. Il est loin d’imaginer que la découverte d’un manuscrit va le plonger dans une enquête vertigineuse à travers l’histoire. Quinze ans plus tard, en Algérie, une mère et sa fille disparaissent mystérieusement. Elles ont été entraînées par le récit d’un inconnu à la recherche d’un trésor de livres et de carnets accumulés à travers les âges par une énigmatique famille de la vieille noblesse française…
Le porteur d’histoire est une fiction foisonnante, non linéaire, à tiroirs : une réflexion sur la part du récit dans nos vies, sa véracité et son importance.
L’intrigue, luxuriante, construite sur des rebondissements successifs et une floraison de personnages, impose, par sa complexité, une scénographie épurée et peu d’accessoires et de costumes. Pensée pour un écrin intimiste et à l’espace scénique restreint comme Nebia poche, la scénographie s’inspire des tiroirs et des coffres de nos enfances, qui recelaient des trésors de déguisements. Tout comme l’histoire, la scénographie est mouvante, elle évolue, s’estompe et s’enrichit au service de la pièce.
Cette mise en scène du « Porteur d’histoire » a été réalisée dans le cadre du cours facultatif théâtre du Gymnase de Bienne et du Jura bernois. Cette année, la troupe compte 14 comédiens·nes qui travaillent avec engagement sur cette pièce, à raison d’une heure par semaine, depuis le mois d’août 2023.
Sami Alves | Martin Martin |
Max Bengelsdorff | Jeanne, Dimitri, Véronique |
Léonie De Marco | Une passante, Josiane, l’homme sans âge |
Hilary Formisano | Infirmière, Henriette Martin, Barbara, Rose |
Lucie Gerber | Sylvie, Adélaïde de Saxe de Bourville, Clément VI |
Henri Lemoine | Gérard, Eugène Delacroix, Frédéric de Saxe de Bourville |
Eva Neto Dias | Fossoyeur, policier, père d’Henri et de Martin |
Niels Ngayo Fotso | Alexandre Dumas, Hervé |
Kelyan Petter | L’homme |
Elsa Poulain | Lucie, Yolande de Polastron, Sixte II |
Sébastien Richard | Cocher, Louis de Bourmont, agent de la douane, steward, Alexandre Dumas fils |
Marisa Roth | Notaire, comte de Polignac |
Manar Younsi | Alia |
Apolline Votano | Femme du notaire, Marie-Antoinette, garagiste |
Nelson Anadi, Emma Bovy, Selina Buchser, Arnaud Latscha, João Mendonça, Cristian Mihailescu, Amanda Newbold, Laura Niederhäuser, Maxime Schlaepfer
Mise en scène | Milène Grossenbacher et Sophie Rossel |
Scénographie | Yoann Montandon |
Création musicale | Classe d’OC musique du GBJB, sous la direction d’Etienne Hersperger |
Création lumières | Cédric Erard |
Affiche | Classes 26B, 26I et 25A, sous la direction de Céline Froidevaux |
Communication | Ecole Supérieur de Commerce |